Emma Soupart

Des histoires poignantes à mettre en lumière.

Lors de mon stage chez Tataki, l’une des choses dont j’ai été la plus fière, ce sont les témoignages qu’on m’a confiés. Ce type de tournage est très particulier : on se retrouve face à une histoire touchante, et il faut trouver le juste équilibre entre l’humain et la technique.

Pour le montage, même si le résultat final dure à peine trois minutes, il faut parfois trier plus de 40 minutes de rushs. C’est un exercice exigeant, car il faut préserver l’émotion du témoignage tout en assurant un fil narratif cohérent. Ces tournages m’ont profondément marquée, et j’espère de tout cœur avoir l’occasion d’en réaliser à nouveau.